L’origine de la vie
Qu’est-ce que la vie ? Est-ce juste le fait d'avoir la bonne combinaison de protéines dans le bon ordre ? Un homme n'est-il rien de plus qu’un amas de substances et de produits chimiques, qui a fait qu’il « prenne vie » par on ne sait quel moyen ?
Les théoriciens de l’évolution proclament que la vie a commencé par un quelconque processus inconnu, il y a des millions (ou milliards) d’années de cela. C’est le fondement de la théorie de l’évolution. Cela prouve-t-il que cela s'est vraiment passé ainsi ? L’une des plus grandes faiblesses de la théorie de l’évolution réside dans le fait qu’il existe trop de formes de vie pour que cela se soit produit par hasard, et les composantes de la vie sont trop complexes pour que cela soit juste « arrivé » par hasard. Est-ce qu’une cellule produite par hasard peut renfermer les instructions de l’ADN au point de remplir des livres de 1 600 pages ? » (National Geographic). Exemples :
1. La recherche a démontré que les conditions pour avoir la vie sont trop complexes, que ni le hasard ni même les milliards d’années n’auraient pu les produire.
2. La génération spontanée (la production de la vie à partir de matériaux non organiques) n’a jamais pu être observée.
3. Les lois de Mendel sur la génétique expliquent en fait toutes les variations physiques qui sont observées à l’intérieur d’une catégorie de vie, telle que la race canine. Une conséquence logique de ces lois et de leurs subtilités aujourd’hui, c’est qu’il y a des limites à de telles variations.
4. Les nombreuses similitudes entre différentes espèces n’impliquent pas nécessairement un lien généalogique ; elles peuvent simplement désigner un Créateur commun.
5. Le corps humain (ou celui de n’importe quelle autre créature) ne peut pas vivre sans la plupart de ses organes internes, comme le cœur, les poumons, le foie, etc. Enlevez un seul de ces organes, et le spécimen meurt. Il en découle que le corps entier a été créé en une fois.
6. La sélection naturelle ne peut pas produire de nouveaux gènes ; elle ne fait que sélectionner parmi les caractéristiques préexistantes.
7. Les mutations sont le seul mécanisme prévu par lequel la nouvelle matière génétique peut évoluer.
8. Presque toutes les mutations observables sont nuisibles ; beaucoup sont mortelles.
9. Aucune mutation connue n’a jamais produit une forme de vie ayant à la fois une plus grande complexité et viabilité que ses ancêtres.
10. À la suite d’expériences menées, durant une période de soixante-dix années, sur une certaine espèce de mouche (les mouches du vinaigre), ce qui équivaut à 2 700 générations humaines, il n’a été décelé aucune base pouvant amener à croire qu’un quelconque processus, naturel ou artificiel, peut provoquer une augmentation de complexité ou de viabilité. Aucune amélioration génétique claire n’a été observée, malgré les nombreux efforts artificiels pour augmenter les taux de mutation. Par ailleurs, aucune « nouvelle » forme de vie n’a été produite via une mutation. Aucune mouche n’a « évolué » en moustique ou en abeille.
11. Il n’existe aucune preuve que les mutations soient en mesure de produire de nouveaux organes comme l’œil, l’oreille ou le cerveau.
12. Si la terre, au début de son « évolution » présumée, avait de l’oxygène dans son atmosphère, les produits chimiques nécessaires à la vie auraient disparu sous l’effet de l’oxydation. Toutefois, s’il n’y avait pas d’oxygène, alors il n’y aurait pas d’ozone, et sans l’ozone toute vie aurait été rapidement détruite par les radiations UV du soleil.
13. Deux aspects ignorés par les études que l’origine de la vie possède :
a) la beauté des différentes formes de vie,
b) la symétrie chez pratiquement toutes les formes de vie. Les scientifiques adeptes de la théorie de l’évolution ignorent ces aspects, principalement parce que ces deux choses suggèrent un Créateur. En fait, toutes les mutations enregistrées produisent des malformations et des changements « non-évolutionnistes » chez le sujet étudié.
14. Il y a eu beaucoup de tentatives imaginatives, mais non fructueuses, pour expliquer comment une simple protéine a pu former, à partir de rien, les conditions présumées de la terre primitive. Les réactions chimiques indispensables tendent toutes à aller dans la direction opposée à celle requise. Plus encore, chaque source possible d’énergie, que ce soit la chaleur terrestre, les décharges électriques ou les radiations solaires, aurait détruit les produits protéiniques des millions de fois plus vite que le temps qu’elles mettent pour être formées.
15. Si, malgré la chance quasi impossible, les protéines présentent par hasard des processus, il n’y aurait absolument aucune raison de croire qu’elles puissent former une cellule vivante avec des membranes et ayant la capacité de s’autoreproduire. Rien ne prouve qu’il existe un quelconque état stable entre la formation naturaliste présumée des protéines et la formation des premières cellules vivantes. Aucun scientifique n’a jamais pu avancer une procédure testable par laquelle ce fantastique saut dans la complexité se serait produit –même si l’univers était complètement rempli de protéines, comme vous le verrez.
16. Les cellules des créatures vivantes sont énormément complexes. Chaque partie doit être présente afin que les cellules survivent. Chacune des parties a une « mission » différente. Ce n’est pas illogique de dire que si vous retirez une partie, peu importe laquelle, la cellule ne pourrait pas survivre. Cela implique évidemment que les parties (ie, la membrane cellulaire, les nucléus, les ribosomes, etc.) ont dû arriver à l’existence en même temps.
17. Les comparaisons générées par ordinateur ont été effectuées sur les séquences des acides aminés qui composent une protéine, laquelle est commune à quarante-sept formes de vies animales et végétales. Les résultats de ces études mettent sérieusement la théorie de l’évolution dans une position périlleuse.
18. L’information génétique contenue dans chaque cellule du corps humain est à peu près équivalente à une bibliothèque de quatre mille livres. Pour que les mutations hasardeuses et la sélection naturelle produisent ce nombre d’informations, présumant que la vie et la matière ont simplement commencé à vivre d’une façon ou d’une autre, il faudrait continuer la procédure suivante jusqu’à ce que quatre mille livres soient produits :
a) commencez avec une phrase compréhensible,
b) retapez cette phrase, mais en faisant quelques erreurs, puis insérez quelques lettres supplémentaires,
c) examinez la nouvelle phrase pour voir si elle a du sens,
d) si c’est le cas, remplacez la phrase originale avec cela,
e) sinon, retournez à l’étape (b).
Pour accumuler quatre mille volumes compréhensibles, cette procédure devrait produire l’équivalent de bien plus de 10^3000 (puissance dix à trois milles millièmes) progénitures d’animaux. Pour commencer à comprendre à quoi correspond la taille d’une puissance 10^3000, réalisez que l’univers entier n’a « que » 10^80 atomes.
19. Sur la base des observations effectuées de nos jours, l’ADN ne peut qu’être dupliquée ou reproduite avec l’aide de certains enzymes. Cependant, ces enzymes ne peuvent être produites que sous la direction de l’ADN. Puisque l’un a besoin de l’autre, une explication satisfaisante sur l’origine de l’un doit expliquer simultanément l’origine de l’autre.
20. Les acides aminés, lorsqu’on les trouve dans des matières non vivantes, viennent sous deux formes chimiquement équivalentes ; la moitié environ peut être décrite comme « droitier » et l’autre moitié « gaucher » (une description structurelle –l’un est le miroir de l’autre). Cependant, les molécules protéiniques trouvées dans toutes les formes de vie, incluant les végétaux, les animaux, les bactéries, les moisissures et même les virus, n’ont que la variété gauchère. La probabilité mathématique que les processus hasardeux puissent produire ne serait-ce qu’une minuscule molécule protéinique, avec seulement des acides aminés gauchers, est quasiment de zéro.
21. La forme la plus simple de la vie consiste à six cents molécules protéiniques différentes. La probabilité mathématique qu’une seule molécule se formerait sur demande hasardeuse proprement dite des acides aminés, s’élève à bien moins que 1 à 10^527. L’étendue du nombre 10^527 peut nous parler quand on réalise que l’univers visible s’étend sur environ 10^28 pouces de diamètres.
22. Il y a beaucoup d’exemples où des différentes formes de vie sont complètement dépendantes les unes des autres. Ces exemples incluent : les figuiers et la guêpe d’écorce de figuier, le yucca et la mite, beaucoup de parasites et leurs hôtes, les plantes à pollen et la famille d’abeilles à miel, composée de la reine, des ouvrières et des abeilles mâles. Il y en a beaucoup, beaucoup d’autres. Si un membre de chaque groupe interdépendant avait évolué en premier (comme une plante avant l’animal), l’autre membre n’aurait pas survécu. Puisque tous les membres de chaque groupe ont manifestement survécu, ils ont dû commencer à exister au même moment.
23. Les formes de vie terrestres se reproduisent selon leur propre espèce. Des animaux différents ne peuvent pas se croiser. Cela suppose que chacune de ces formes de vie a été créée distinctement. Les chats et les chiens ne se croisent pas pour produire une nouvelle race de « chiens-chats ». Par conséquent, il est vraiment peu probable que les différentes formes de vie proviennent de croisement d’espèces.